mardi 20 septembre 2016

Délices d’Annie impressionne avec sa recette de Sauté de Veau au Chorizo



Bien qu’on ne dispose pas d’une grande connaissance en cuisine, il n’est jamais tard pour s’en initier et de surcroît, avec les recettes de Délices d’Annie, toujours aussi bien expliquée et garantie au succès. Pour ce Sauté de veau au Chorizo, les cuisiniers en herbe peuvent enfiler leur tablier car de toutes les recettes de plat principal, c’est de loin la plus facile à réaliser et de bonne facture pour son goût inégalé.


Les plus gourmands se régaleront avec ce Sauté de Veau au Chorizo enseigné par Délices d’Annie


Délicesd’Annie encourage les amateurs de cuisine à s’exercer autant que possible sur divers styles de gastronomie en essayant de proposer une myriade de recette pour tous les goûts et pour toutes les bourses. Ce Sauté de Veau au Chorizo rappelle la beauté de la cuisine méditerranéenne avec l’usage malicieux du romarin, du thym et du basilic. Rien qu’avec son odeur, ce plat promet déjà un goût appétissant qui ne passera pas sans éveiller la curiosité des convives sur son secret. Pour sa réalisation, il faut compter près d’une heure et demie seulement avec une bonne petite heure réservée à sa cuisson. Pour ses emplettes, il est important d’établir la liste de course suivante pour 6 convives :

-          1 chorizo (doux ou fort)
-          1 kg de sauté de veau
-          1 pot d’olives vertes dénoyautées
-          4 oignons
-          2 boîtes de pulpe de tomate
-          un bouquet garni regroupant : une branche de thym, une feuille de laurier et du romarin
-          un bouquet de basilic
-          1 gousse d’ail

Pour débuter, le cuisinier devrait prendre les échalotes pour les éplucher et les émincer, de même pour les gousses d’ail. Quant au chorizo, il faut enlever sa peau et le découper en fines rondelles. 
On cisèle le basilic par la suite, avant de prendre en main la préparation du sauté de veau.
Prendre alors une cocotte, pour y faire dorer le sauté de veau grâce à l’huile d’olive. 
On tâchera de veiller à ce que la viande se colore parfaitement avant d’ajouter les goussesd’ail émincées et les échalotes. 
Ensuite, il est important de bien remuer la viande avec un bon assaisonnement au sel et au poivre. A la fin, il reste à ajouter les tomates, les olives vertes dénoyautées, le chorizo, le basilic et le bouquet garni et bien les mélanger à la viande. La cocotte bien couverte sera laissée durant une heure à feu doux pour mijoter en douceur. Délices d’Annie suggère aussi sa préparation la veille pour avoir un excellent sauté de veau où il suffit juste de réchauffer avant de le servir.

mardi 6 septembre 2016

Déguster la cochonnaille, tout un art, suivez les conseils des Délices d’Annie

Une fête ou un cocktail entre amis approche et vous hésitez à servir les sempiternels plateaux de charcuterie, en vous demandant s’ils ne sont pas devenus trop classiques, voire même ennuyeux. Rassurez-vous, les chefs de Délices d’Annie ont plus d’un tour dans leurs manches pour vous réconcilier avec la cochonnaille.

Mélangez les goûts et les textures

Il est important de varier les goûts, mais également les textures pour éviter aux papilles de se lasser. Les jambons, rillettes et terrines sont plutôt tendres tandis que les saucissons et autres gendarmes ou lomo – pour ce dernier, faites le vous-même en suivant la recette absolument in-ra-table de Délices d’Annie – sont plus durs et secs.
Mais le souci d’alterner les saveurs ne s’arrête pas là ! Plutôt que de vous en tenir aux compléments habituels comme les cornichons et les olives, osez des alliances sortant un peu de l’ordinaire, avec des fruits notamment.
Du raisin, des poires ou des figues apporteront un contrepoids de douceur végétale qui mettra d’autant plus en valeur la saveur salée et animale de la charcuterie. Et comment oublier le fromage ? Un bon brie ou un camembert bien fait ou au contraire encore jeune ou un roquefort bien persillé viendront compléter délicieusement la cochonnaille.  

Le pain, véritable écrin de la cochonnaille

Beaucoup de gens, parfois par souci de sophistication, servent la charcuterie en oubliant son compagnon naturel : le pain. Quelle erreur ! Osez présenter des tranches de pains originaux comme les pains aux noix ou aux herbes et même certains pains plats comme le pain pita, sans oublier les grands classiques que sont le pain de campagne et le pain complet.

Pour sublimer la charcuterie, soignez bien votre choix de vin

Contrairement aux idées reçues, le meilleur complément de la charcuterie n’est pas le vin rouge, mais le vin blanc. Le gras et le sel très présents dans la cochonnaille tendent en effet à assécher les tanins des rouges, ce qui leur donne en bouche un goût métallique très loin d’être agréable. Un rosé léger conviendra également pour apporter une touche de fraîcheur en été.
A ce propos, pourquoi ne pas faire un tour sur le catalogue de Délices d’Annie pour vous constituer rapidement une cave qui conviendra pour toutes les occasions ?